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| Sujet: Raphaël Crimson [Alpha des Dragons] Jeu 3 Nov - 13:52 | |
| Identité | Nom : Crimson Prénom : Raphaël Age : 44 ans en âge réel, 24 en apparence. Race : Dragon de la Connaissance Orientation sexuelle : Essentiellement homosexuel, quoi qu'ayant déjà eut des relations hétérosexuelles. Métier : Avant le voyage, j'étais un objet de désir pour certaines personnes, mais cela n'était nullement mon métier. J'étais concepteur de jeu vidéo et videur dans les boites branchées le soir... A présent, après le voyage, je suis simplement devenu écrivain. |
Identification Arme Fétiche : Généralement j'aime utiliser le Katar(à trois lames), arme qui ressemble si fort à mes griffes de dragon... Je les utilise avec une dextérité proprement effrayante... Et j'aime ça. J'utilise aussi des chaines, longues et mortelles, fichées de morceaux tranchant à de nombreux endroits. Cette arme n'est guère aisée à employer et nécessite un grande force, souplesse et dextérité, encore une fois. Je suis parvenu à maîtriser cet art. J'utilise également les armes à feu, ou plutôt je sais les utiliser, mais les déteste. Je préfère employer les armes blanches ou mes mains. C'est plus... personnel comme attaque. Description Physique: Je me sais beau. Je l’ai d’ailleurs toujours su. C’est un fait et d’ailleurs cela m’aida bien souvent dans la vie. Comme cela me détruisit. J’ai par le passé reçu bon nombre de compliments, je me suis fait draguer par autant d’hommes que de femmes et quasiment tous ce sont fait répudier. Je n’aime pas spécialement les femmes, quant aux hommes… J’ai bien assez à faire avec mon père. Je mesure 1m82 à peu de chose près, ce qui m’a aidé pour devenir videur. Ma carrure fut également un atout… Parce que c’est indéniable, je suis bien taillé. Je n’ai nullement l’air frêle et mes muscles sont très bien développés sans être disproportionnés. Au niveau du visage, et comme le reste d’ailleurs, je tiens de ma mère. J’ai la délicatesse de ses traits, la perfection de sa peau laiteuse, et la douceur excessive de sa chair. Elle était une femme magnifique… Et je suis son fils tout craché. Sauf au niveau de la taille et de la carrure où je tiens de Daniel, mon père. J’ai au moins la chance de ne pas être bedonnant et gras. Mes cheveux sont d’une délicieuse couleur châtain aux reflets blonds. Longs, légèrement ondulés, soyeux, en somme simplement magnifique. Encore un cadeau de ma mère. Elle aura au moins fait cela pour moi… Côté vestimentaire je m’habille très simplement, mais toujours avec une certaine classe. J’ai appris très vite à utiliser des vêtements pas chers et d’en faire quelque chose de présentable. Et oui, un certain goût artistique… Jeans et chemise blanche en général, lorsque je reste chez moi, légèrement entrouverte, laissant entrevoir le V bien dessiné de mes clavicules. Si l’on me déshabille, on pourra constater que la combure de mon dos est parfait, alléchante, que ma chute de rein ne demande qu’à être touchée, visitée. On peut voir quelques cicatrices, rixes entre bandes, client mal luné, ou coups trop violent de la part de Daniel. Je suis percé. Au téton droit, lieu érogène si vous ne le saviez pas… à la langue, ce qui je le sais, à tendance à exciter les gens quand je les embrasse. Et puis à l’oreille droite. Ce qui signifie clairement pour les initiés que je suis homosexuel. J’en porte cinq à cette oreille et un croquant à gauche. Niveau tatouage, j’ai un code barre se logeant sur ma nuque, histoire de montrer aux gents que je ne suis qu’un paquet de chair. Même si personne ne comprend et que tous trouvent cela beau ou amusant. Sur l’intérieur de mon poignet droit, se trouve un caractère indien signifiant « condamné » et mon dernier… Chaque côté de mon aine. Le nom de mon frère et le mien en caractère tribal, simplement beau. Pouvoir Secondaire : - Spoiler:
Angelo Ephesi ecclesiæ scribe: Hæc dicit, qui tenet septem stellas in dextera sua, qui ambulat in medio septem candelabrorum aureorum: Scio opera tua, et laborem, et patientiam tuam, et quia non potes sustinere malos: et tentasti eos, qui se dicunt apostolos esse, et non sunt: et invenisti eos mendaces: et patientiam habes, et sustinuisti propter nomen meum, et non defecisti. Sed habeo adversum te, quod caritatem tuam primam reliquisti. Memor esto itaque unde excideris: et age pœnitentiam, et prima opera fac: sin autem, venio tibi, et movebo candelabrum tuum de loco suo, nisi pœnitentiam egeris. Sed hoc habes, quia odisti facta Nicolaitarum, quæ et ego odi. Qui habet aurem, audiat quid Spiritus dicat ecclesiis: Vincenti dabo edere de ligno vitæ, quod est in paradiso Dei mei. Et angelo Smyrnæ ecclesiæ scribe: Hæc dicit primus, et novissimus, qui fuit mortuus, et vivit: Scio tribulationem tuam, et paupertatem tuam, sed dives es: et blasphemaris ab his, qui se dicunt Judæos esse, et non sunt, sed sunt synagoga Satanæ. Nihil horum timeas quæ passurus es. Ecce missurus est diabolus aliquos ex vobis in carcerem ut tentemini: et habebitis tribulationem diebus decem. Esto fidelis usque ad mortem, et dabo tibi coronam vitæ. Qui habet aurem, audiat quid Spiritus dicat ecclesiis: Qui vicerit, non lædetur a morte secunda. Et angelo Pergami ecclesiæ scribe: Hæc dicit qui habet rhomphæam utraque parte acutam: Scio ubi habitas, ubi sedes est Satanæ: et tenes nomen meum, et non negasti fidem meam. Et in diebus illis Antipas testis meus fidelis, qui occisus est apud vos ubi Satanas habitat. Sed habeo aversus te pauca: quia habes illic tenentes doctrinam Balaam, qui docebat Balac mittere scandalum coram filiis Israël, edere, et fornicari: ita habes et tu tenentes doctrinam Nicolaitarum. Similiter pœnitentiam age: si quominus veniam tibi cito, et pugnabo cum illis in gladio oris mei. Qui habet aurem, audiat quid Spiritus dicat ecclesiis: Vincenti dabo manna absconditum, et dabo illi calculum candidum: et in calculo nomen novum scriptum, quod nemo scit, nisi qui accipit. Et angelo Thyatiræ ecclesiæ scribe: Hæc dicit Filius Dei, qui habet oculos tamquam flammam ignis, et pedes ejus similes auricalco: Novi opera tua, et fidem, et caritatem tuam, et ministerium, et patientiam tuam, et opera tua novissima plura prioribus. Sed habeo adversus te pauca: quia permittis mulierem Jezabel, quæ se dicit propheten, docere, et seducere servos meos, fornicari, et manducare de idolothytis. Et dedi illi tempus ut pœnitentiam ageret: et non vult pœnitere a fornicatione sua. Ecce mittam eam in lectum: et qui mœchantur cum ea, in tribulatione maxima erunt, nisi pœnitentiam ab operibus suis egerint. Et filios ejus interficiam in morte, et scient omnes ecclesiæ, quia ego sum scrutans renes, et corda: et dabo unicuique vestrum secundum opera sua. Vobis autem dico, et ceteris qui Thyatiræ estis: quicumque non habent doctrinam hanc, et qui non cognoverunt altitudines Satanæ, quemadmodum dicunt, non mittam super vos aliud pondus: tamen id quod habetis, tenete donec veniam. Et qui vicerit, et custodierit usque in finem opera mea, dabo illi potestatem super gentes, et reget eas in virga ferrea, et tamquam vas figuli confringentur, sicut et ego accepi a Patre meo: et dabo illi stellam matutinam. Qui habet aurem, audiat quid Spiritus dicat ecclesiis. Révélations, chapitre 2
Voilà mon pouvoir. Une connaissance absolue, infinie et absorbante. Je sais tout, je retiens tout... Ça se case quelque part dans ma tête et ça y reste. Je connais une bonne vingtaine de langues parfaitement, je me débrouille bien dans une quinzaine d'autre langues. Je connais la bible par cœur, à chaque mot, chaque lettre, chaque virgule. En latin, hébreux, français, allemand... Je connais l'histoire et la physique, je connais l'astronomie... Je suis un puits sans fond qui retient tout, absolument tout. Je serais capable de vous dire ce que je portais il y a trente ans de cela, à tel endroit et à telle heure. Mémoire eidétique... Intelligence. Et cela ne s'arrête pas là. Je suis également capable de force physique. Je ne suis pas qu'un cerveau... Je suis également un dragon, un monstre de puissance... et de connaissance. Description Pyschologie : Côté psychologique. Ha, c’est une bonne question. Que dire ! Commençons simplement. Je me considère comme un morceau de viande et un monstre. A force de me l’avoir répéter jour et nuit, j’ai fini par y croire. C’est ainsi. Je suis pourtant quelqu’un d’attentionné et de gentil, tout en restant essentiellement indépendant et fier. J’aime avoir du contrôle sur les choses, quand bien même il est parfois jouissif de laisser aller les choses. Je suis aussi une personne terriblement curieuse. J’aime apprendre depuis que je suis tout petit, mais depuis quelques temps, la connaissance est devenue pour moi une sorte de malédiction… Je deviens fou, j’ai des crises de terreur et d’angoisse à cause de ce savoir trop grand. J’ai une véritable phobie du noir. Le noir est synonyme de mauvais souvenir, de nuits douloureuses. La culpabilité me ronge également, pour le mal que j’ai fait à Gabriel, pour l’avoir abandonné. J’ai toujours voulu le meilleur pour lui, et j’ai été heureux de voir qu’il s’en était sorti dans la vie. En vérité, il compte bien plus que ma propre vie. Il est tout pour moi… Sauf que voilà, même avec ça, ça ne m’empêche pas de lui tirer la gueule, de lancer quelques piques blessantes, de faire la petite guerre. Parce que j’ai du répondant, parce que je suis un homme aussi. Je peu paraître froid, et c’est parfois vrai… je suis aussi sauvage, et par définition, j’aime la liberté. Tentez de m’enchaîner, de m’entraver les poignets et je deviendrais fou… M’enfermer dans un lieu clos et vous serez certain que je réduirais tout en cendre. Mes réactions sont parfois violentes, mais c’est essentiellement de la faute de Daniel… Cet enfoiré a brisé mon âme. Ce n’est que depuis les retrouvailles avec mon frère que je vais un peu mieux, sans jamais lui avoir dit quoi que se soit. Mais c’est mon frère, mon ancien amant. Il a tout deviné. Il se moque toujours gentiment de moi, sans jamais chercher à me blesser. Il est ainsi, et c’est pour cette raison que sa présence m’est vitale. Mais plutôt me faire arracher la langue plutôt que de le lui dire. Va savoir comment il réagirait en l’apprenant ! Antécédents « Amour : Attirance, affective ou physique, qu'en raison d'une certaine affinité, un être éprouve pour un autre être, auquel il est uni ou qu'il cherche à s'unir par un lien généralement étroit. » Voilà. Ma pensée se résume à cela. J’ai toujours songé que l’amour n’avait pas de frontière commune avec la raison. Il ne fait pas de distinction, il lie deux êtres sans faire attention aux dégâts que cela va inévitablement causer. L’amour est le plus grand maux que je connaisse, avec la haine et la rancœur. J’ai aimé, aimé jusqu’à en avoir mal, aimé à la folie, au point de faire tout pour que l’autre puisse vivre normalement. Je me suis mis volontairement dans une situation intenable. Je savais que mon choix entraînerait inévitablement ma perte. Mais je préférais me perdre plutôt que de le perdre lui.
J’ai aimé à la folie, j’ai aimé un jeune homme d’une beauté directe et éclatante, d’une douceur et d’une gentillesse sans pareille avec moi… Tout en sachant rester un homme, avec ses phrases débiles et blessantes. Cet homme s’appelait Gabriel. Et c’était mon frère.
Nous avons toujours été très proches, trop proches à dire vrai, les gestes que nous avions l’un envers l’autre étaient ambigus mais restaient acceptables : après tout, nous étions frères, l’affection se comprend. Le problème est que cette affection dépassait les limites du raisonnable, du moins pour nous. Et nous le savions dans des gestes que nous nous portions, tendres, d’un amour simple et sans fêlure. Nous nous sommes embrassés une première fois sur les lèvres, après cela nous paru tellement normal de dormir dans un même lit, nous tenir la main ou nous effleurer. Jusqu’à cet hiver. J’ai aimé mon frère. Je l’ai fait mien. Le posséder m’était devenu une évidence. Et ma place était à ses côtés. Tout aurait pu bien se passer. Sauf que nos parents nous ont surpris. En pleine action. Je passe les détails, mais suite à cela, il y a eut des visites chez le psychologue, des insultes, encore des insultes, et puis mise à l’écart obligatoire. Interdiction pour Gabriel et moi de nous voir.
Jusqu’à la totale séparation. Le climat était devenu instable et dangereux. La blessure de Gabriel fut le déclencheur. De là, je pris ma décision. Il était hors de question qu’il reste avec un homme qui le frapperait sous prétexte que son fils aîné était une tapette féminine sans pudeur et sans fierté. J’ai tout préparé avec mon père pour partir. Et nous sommes partis sans que je ne dise rien à mon amant.
Les années suivantes furent mon cauchemar. Ce qui me faisait simplement tenir était de penser que mon frère ne subissait pas ça de la part de son propre père. Et puis je subissais ma punition. C’était ma punition pour avoir détourné mon frère du droit chemin. J’écoutais les musiques de mon frère, un magnifique chanteur. Je lisais les magasines sur lui, restant proche sans pour autant pouvoir le toucher. Ça faisait mal… mais moins que de sentir mon père me posséder chaque soir un peu plus violemment. Et dire qu’il me demandait chaque fois si j’aimais…
Je me souviens que ma dernière nuit en tant qu’humain fut après une partie de jambes en l’air particulièrement douloureuse. Daniel était ressorti après s’être donné satisfaction, m’avoir labouré de l’intérieur et m’avoir cogné histoire de passer le temps pendant qu’il me charcutait de son pénis. Il m’avait laissé pour mort, comme chaque fois. Je me suis levé et ai pris la direction de la douche, comme chaque fois. J’ai allumé les jets d’eau brûlants et pendant que la buée recouvrait peu à peu la pièce, mes yeux restaient figés dans la glace. Mon reflet… Je n’avais jamais autant détesté ma personne. Je sentais encore le sperme et le sang coller à mes cuisses, m’irriter la peau. Je me suis accroché au lavabo, me sentant défaillir, prêt à craquer. Quelle sorte de monstre étais-je devenu ? Pour en venir à gémir sous ses coups de butoirs bestiaux ? A le supplier de jouir en moi ? Parce qu’au fond… je détestais ce qu’il me faisait… Cela me faisait vomir… Mais je faisais cela pour… lui plaire. Pour que cela soit moins dur, plus supportable. Un monstre… Tête baissée, je serrais de toutes mes forces le lavabo, au point de m’en faire blanchir les phalanges. Surtout ne pas donner satisfaction de pleurer… Je relevai le visage, et à travers la buée collée au miroir, l’image qu’on me renvoyait était celle d’une bête à la gueule démesurée, cornue et magnifique. Mais un monstre quand même. J’eu un pauvre sourire en constatant que même le miroir était d’accord avec l’image qu’il fallait me donner. Je passai la main dessus, histoire de dégager la vapeur et de mieux voir…
Et voilà. Aspiré. Dans un autre monde, à poil où presque. Juste avec un futal à moitié ouvert, sans même un sous vêtement. Y’a moyen d’être crétin quand même…
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Je crois pouvoir dire qu’il était quelque chose comme quatre heures du matin. Du moins avec la lune et sa hauteur. Je clignai plusieurs fois des yeux, regardai autour de moi… et marmonnai. Voilà. M’étais éclaté la tête contre le lavabo, puis le sol. J’étais probablement occupé à délirer sur le carrelage froid de la salle de bain, et comme un con, je rêvais d’un autre monde. Fuck.
Je passai une main sur mon visage en me disant que j’aurais au moins dû avoir l’intelligence de rêver sans douleur, mais visiblement j’étais trop dans le coltard que pour songer à cela. Et puis je peux être fier ! Je rêve tout en réalisme ! huhuhu. Avec douleur et cuisses collantes. Je veux prendre une douche bordel de merde. C’est à cette pensée très terre à terre que mes tympans furent brisés par une sorte de hurlement très peu glorieux ressemblant à un « AAAAAAAAAAAAAAAAAH ! Le videur ! »
Ça, ça devait être moi. Tient, le type bourré de la soirée qui me pointait du doigt... J’haussai un sourcil me demandant ce que cet énergumène pouvait bien faire dans mon rêve à moi. Surtout que je devais vraiment pas être bien pour l’imaginer en tenue de patient d’hôpital, les fesses à l’air. Glorieux, vraiment très glorieux. Et je me suis fait draguer par… ÇA ! Il était blessé. Et moi, pour faire au moins plus distingué, j’eu la présence d’esprit de refermer mon pantalon en grimaçant. J’ai mal et je ne me sens vraiment pas bien. Je suis occupé à tourner de l’œil. Aussi, je mis un point d’honneur à nier le poivrot pour marcher dans la rue. Putain il fait froid. L’autre couillon me suit.
- Hey ! Soit pas égoïste ! Tu vois pas que je suis blessé ?
Non pas du tout. Tu me gaves, barre toi, je te connais pas. Et puis qui t’a permis de parler dans mon rêve ?
- Mais attends-moi ! Va pas trop vite ! tu vois, je boite, j’ai maaaaal ! Aide mwaaaa !
Nie le, avec un peu de chance, ton cerveau va l’effacer. Bha non. Ce con, l’homme je veux dire, se vautra comme une merde sur le sol. Il eut un silence où j’aurais juré pouvoir l’entendre marmonner des choses inintelligibles. Je me rapprochai de lui… bha parce qu’il était pitoyable et que mine de rien, je suis un peu généreux dans mon rêve… Et vu son manque de réaction – une merde au sol je vous dit ! – je me décidai à partir. C’est quand je faisais demi-tour qu’une chose me barra la route, releva le crétin… pendant que je me disais que j’étais vraiment, mais vraiment atteint pour voir débarquer tout et n’importe quoi dans mes rêve sur le carrelage. Suite à ça, le type délira, le nouveau venu je veux dire, et expliqua que nous étions dans un autre monde et blablabla. Puis comme une fleur, il est parti.
Nouveau silence. Le crétin premier était assit, légèrement en retraite. Je sentis une main se saisir de ma cheville et la tirée vivement. Je me vautrai au sol, tête la première. J’amortis le choc, mais mon front heurta tout de même le dallage dur. Je me roulai sur le dos en gémissant et en me massant le front. Immonde bâtard galeux ! Et vas-y rampe, grimpe sur moi, je vais rien dire ! Putain, il est lourd. Et j’ai mal. Ouais, au cul et au torse. Mais passons.
- Alors, t’es toujours certain de rêver ?
Avoir sa tronche de cake juste en face de la mienne… C’est du pur délire, je vous jure.
- T’es lourd. Ça doit être le poids de la connerie. - Ou celui de mon charme naturel. Répondit-il en se passant la langue sur les lèvres de manière proprement indécente et provocatrice.
Je rappel que je viens de me faire violer par mon père, ainsi que m’être fait battre. Alors ses sous-entendus douteux, il se les gardera ! Il s’est relevé après un moment de silence, à noué sa blouse à la mode Tarzan… puis m’a aidé à calmer mon rire hystérique. Nous nous sommes baladé, nous avons parlés, puis présenté et il s’est avérer que et bien, le monde est finalement très petit. Parce que c’était simplement mon Gabriel qui était là. Depuis vingt-cinq ans, nous vivons en OtherSide, ensemble. Sans rien faire d’autre que d’apprécier la compagnie de l’autre.
Vous Votre pseudo Valren Quel âge avez-vous ? quasi 20. Comment trouvez-vous le forum ? Classe et bien présenté, avec un contexte original. Selon vous, une amélioration doit-elle être apportée ? Si oui, où ? Nop,. pas pour le moment. ... Et ce règlement, l'avez-vous lu ? [Validé par le Stupre!]
Dernière édition par Raphaël Crimson le Dim 6 Nov - 11:43, édité 1 fois |
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