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Elena Altor [en cours]

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Elena Altor [en cours] Empty
MessageSujet: Elena Altor [en cours] Elena Altor [en cours] Icon_minitimeSam 31 Mar - 15:42

IDENTITE
[x] NOM : Altor

[x] PRÉNOM :Elena

[x] ÂGE : 30 ans d’apparence et 30 ans réelement.

[x] RACE : Gargouille, aucun rangi]

[x] ORIENTATION SEXUELLE : Aucune spécifique, tant qu’il y a du plaisir

[x] MÉTIER : [i]Aucun pour le moment.

NOM DU PERSO


IDENTIFICATION CORPORELLE[x] ARME FÉTICHE : Profitez-en pour préciser également les armes qu'il porte en général sur lui. Il peut avoir le flingue pour arme fétiche et utiliser des couteaux également.

[x] DESCRIPTION PHYSIQUE : DESCRIPTION PHYSIQUE : Je suis une jeune femme qui profite de la vie comme il se doit. Oui, du haut de mon mètre soixante-dix et de mes cinquante-sept kilos, je parcours le monde discrètement. Sans que l’on ne me remarque. Enfin que l’on me remarque, physiquement je veux dire. Pourtant, je ne suis pas le genre de femme qui passe inaperçue là où elle va. Oui, la plupart des gens diraient en me voyant que je suis quelqu’un de jolie. Canon, celons les lieux du monde. Personnellement je m’en fiche, Tout ce qui compte c’est que mon physique permet d’attirer les gens.

Je suis une femme possédant la grâce d’une hyène. Prédatrice dangereuse qui ne s’attaque qu’aux mort ou aux blessé. Oui, souple et dangereuse. C’est ce que je suis. Possédant une musculature dessinée à peine apparente je possède un corps taillé pour le sport. En même temps, vue les activités que je pratique, il vaut mieux que ce soit le cas. D’origine européenne, je possède la peau bronzé de celle qui passe le plus clair de son temps dehors. Il faut dire que je n’ai jamais vraiment eu autre chose à faire que de trainasser à l’extérieur. Je possède une longue chevelure rose/rouge qui attire facilement l’œil accordé a des yeux d’un vert éclatant, ceux-ci forment un parfait mélange que j’apprécie beaucoup. Une balafre traverse mon œil gauche mais celle-ci n’a pas eu de conséquence néfaste sur ma vision. Coup de chance, ou du destin, cela je ne le saurais jamais. Je porte un corset de cuir noir aux bordures dorée se fermant grâce à des boutons à l’avant laissant ainsi à nue le haut de ma poitrine. Le corset se prolonge jusqu’à mes coude il se termine juste en dessous de mon nombril en pointe et laisse mon bassin à découvert. Il remonte aussi sur mon cou cachant complètement ma nuque. De long gant de tissus violet recouvre mes bras passant au-dessus du corset, sur ceux-ci, des plaques de métal noir aux décorations dorées afin de protéger mon corps. Au poignet droit, je porte un bracelet lui aussi noire parsemé de dessin dorée.



Pour ce qui concerne le bas du corps c’est tout aussi compliqué. Je poste un pantalon de tissus souple et solide possédant des trous à l’extérieur de la cuisse donc les bords sont retenus entre eux part trois lanières de cuir. Ce pantalon, de couleurs violet foncé est retenu à la taille grâce à une ceinture de cuir marron dont la boucle est une tête de mort en fer aux yeux rouges. Des jambière en métal remontant jusqu’au milieu de la cuisse sans gêner mes mouvement sont décorée au niveau des genoux par des têtes de mort en fer aux yeux rouge. La fidèle reproduction de celle à la ceinture en plus gros. C’est fou ce que j’aime cette forme, ça me rappel de bon vieux souvenir. Enfin, aux pieds, je porte des botte en métal s’ajustant parfaitement avec mes jambière et produisant un magnifique son froid lorsque je marche sur un sol dur.




IDENTIFICATION PSYCHOLOGIQUE[x] POUVOIR SECONDAIRE : sensation: Mon pouvoir secondaire n’est pas spécialement compliqué. Le seul effet qu’il possède et je dois dire que cela me plait, c’est de me permettre de ressentir la souffrance de mes victimes sans même être blessé. Un pouvoir magnifique.

[x] DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE : D’après beaucoup de gens, et du moins les informations, je ne suis pas quelqu’un que l’on peut considérer comme humaine. Oui, je préfère la mort à la vie, et apparemment, cela ne plait pas à tout le monde. Mais moi sa me plait, et c’est tout ce qui compte. Et oui, j’aime le sang et la souffrance, que cela m’appartienne ou que cela appartienne aux autres. Dans tout le cas j’y trouve du plaisir, un plaisir incomparable que rien d’autre ne peut m’apporter. Oui, j’aime cela au plus profond de mon être. Je ne peux pas vivre sans, c’est comme demander a quelqu’un de vivre sans se nourrir, de vivre sans respirer. Moi, je ne peux pas vivre sans faire souffrir les autres, sans souffrir moi-même. La souffrance est une drogue, et elle ma contaminé au plus profond de moi.
On m’a toujours considéré comme quelqu’un d’étrange, comme si j’étais un peu folle, comme si ce que a quoi je pensais n’était pas normal. Pourtant, j’ai beau être une fille, je ne vois pas pourquoi je n’aurais pas le droit d’être attirée par les armes. Oui, le sexe ne change rien, ce qui me plait à son importance, l’avis des autres n’en a pas. Et oui, je ne suis pas du genre à m’inquiéter de ce que pense les autres, je vie comme je suis et personne n’a à me commander. Même mes parents n’ont jamais réussis, je ne voie donc pas pourquoi quelqu’un d’autre pourrait se le permettre.

Contrairement à ce que je sous entend, je sais parfaitement me plier aux ordres que l’on me donne oui, j’ai beau être quelqu’un de libre je sais suivre quelqu’un lorsque cela m’arrange. Lorsque cette personne m’apporte quelque chose qui m’intéresse. Et oui, je suis une femme libre qui suit les gens celons le profit que j’en tire. Je peux très bien changé de camp d’un seul coup si ce que l’on me propose est plus intéressant. Mais il faut faire la proposition rapidement, sinon, et bien… les morts ne parlent pas. Ecoute le vent, il est silencieux, il est calme et tranquille. Même les plus violentes bourrasques sont plus silencieuses que n’importe qu’elle être vivant. Jaime ce silence, le vent et mon meilleur ami, il est celui qui m’inspire et je m’applique à rendre les gens comme lui… silencieux. Mais avant de devenir silencieux, il faut avant tout hurler, je m’y applique aussi, faire hurler les gens, la souffrance est très utile. Et ce spécialisé dans la torture est nécessaire. Oui, je suis capable de torturer quelqu’un uniquement avec mes main, faire hurler quelqu’un jusqu’à sa mort. C’est si facile, il suffit juste de maitriser ce que l’on fait pour ne pas tuer trop vite. Oui, il n’y a aucun plaisir dans la rapidité.

Et je tiens beaucoup à ma lenteur, c’est fou ce que l’on peut me considérer comme lente. Que ce soit au niveau physique ou au niveau de l’esprit. Tant que la situation n’exige pas une attention particulière, je reste quelqu’un que l’on peut considérer comme moue. Inoffensif. Ce n’est pas vraiment le cas mais j’aime laisser cette image de moi transparaître ce qui fait que les gens que je rencontre ne sont pas méfiant envers moi. C’est si facile de piéger ceux qui ne sont pas méfiant, ceux qui boivent les paroles des autres. Ce sont mes cibles préféré. Mais pas les plus intéressantes. Ce qui est amusant, ce sont ceux qui résiste, ceux que l’on peut faire hurler a l’infinie. Ou ceux qui reste silencieux, cela impose un défie toujours plus grand, un défie que j’aime surmonter. Et pour le moment je n’ai jamais échoué dans cette tâche.

Pour ce qui est du reste et bien, je n’ai jamais honte de moi, avoir une morale n’est pas la chose qu’il est bon d’avoir lorsque l’on tue des gens. Ce qui fais que je ne suis pas spécialement pudique bien que rare soit les vivant a m’avoir vue sans vêtement. De plus je suis essentiellement carnivore, voir cannibale, je n’ai pas de limite sur la nourriture, tous ce qui ressemble à de la viande et qui peut combler mon estomac et acceptable pour être manger. Que se soit de la viande fraiche ou cuite, un être de ma race, après tout à l’origine, nous somme tous des animaux, et les animaux sont fait pour être manger. C’est la loi de la chaîne alimentaire.




ANTÉCÉDENTS

Je ne sais plus ou je suis née, ceci est un mystère que personne n’a voulu dévoiler. Je ne connais même pas mes vrais parents. Ceux qui ont prit ce rôle à leur place était complètement stupide. Si stupide, que j’avais honte. D’ailleurs, mes professeurs s’acharnaient à dire que mon comportement venait de ces parents totalement incompétents. Etrange lorsque l’on pense qu’ils sont complètement pacifique et que moi, personnellement, j’adore me battre. Paris, une ville où l’on se fait souvent agresser. Du moins lorsque l’on habite, comme dans mon cas, dans des quartiers peut fréquentable. Mon premier souvenir est donc ce minuscule appartement à Paris, je devais avoir à peux près six ans. Sept au grand maximum. Les murs marron délabré faisait peine à voire et le plancher abîmer de presque partout ne faisait pas meilleurs figure. Lorsque j’y repense, l’unique mot qui me vient à l’esprit est : Pitoyable. Et pourtant, c’est dans cet endroit que je fus élevé, l’unique maison que je partageais avec mes parents adoptifs. L’unique lieu où je pouvais me réfugier.

Le début de ma vie se passa plus ou moins bien, n’ayant aucun souvenir d’avant mes six ans, je possédais un réel retard dans mes études et, de base j’étais charrier par tout le monde. Les mecs n’étant pas plus indulgents avec moi qu’il ne l’était pour une de leur victime. Il fallut souvent que je me défende et je montrais pour cela un talent irréprochable. Plusieurs d’entre eux finirent à genoux en se tenant les bijoux de famille couinant de douleur. C’était si plaisant de les voir souffrir alors que quelques secondes auparavant ceux-ci s’amusait à me martyriser. Au final, de l’avis des professeurs. Personne ne savait réellement qui martyriser qui. Malheureusement, ce n’était que dans l’école que cela se passait comme sa, lorsque les adultes pouvait intervenir rapidement afin d’arrêter tout conflit. Ce ne fut pas la même chose lorsque j’arrivais au collège.

Le collège, le lieu où l’on dit que les élève sont assez mature et pourtant, cela ne se voit pas le moins du monde. Vive, je ne réfrénais pas mes mots. Et cela ne plaisait pas à tout le monde. Encore dans la cours je parvenais a échapper au terreur de ce lieux mais, en dehors, c’était un autre histoire. C’est deux semaines après ma rentrée en sixième que je ne revins pas chez moi. Je n’ai pas vraiment de souvenir de ce qui c’est passé mais on raconte que l’on m’aurait retrouvé dans une rue, assommé, une fine flaque de sang sous mon corps. Personne ne me donna de description précise, pourtant je parvins à comprendre que l’on m’avait déboité une épaule et que mon bras droit c’était complètement retourner. S’ensuivit de longue semaine d’indisposition dont plusieurs jours à l’hôpital. Malgré ma blessure, je restais moi-même et lors de mon retour en classe, ma langue acérée ne rata pas ceux qui osèrent ce moqué. Cet évènement força aussi mes parents à prendre certaine décision. Comme par exemple me faire prendre des cours de défenses. D’après moi, la meilleure défense était l’attaque, je choisis donc de savoir manier l’épée mais aussi de me battre à main nue. Je préférée de loin l’épée, il est facile de trouver un bout de bois dans la nature ou une barre de métal que l’ont peut bouger suffisamment bien pour blesser son adversaire. Le tout et d’avoir le talent nécessaire à cette objectif. J’aimais ces leçons interminables d’arts martiaux. Au collège, rapidement plus personne ne vînt m’embêter, les quelques récidiviste rentrèrent chez eux en boitant après avoir prit quelques coup bien placé. Tout ce passais donc bien jusqu’à ma quatrième ou mes parent prirent une grande décision.


Partir en voyage. Oui, c’était leur idée. J’appris donc à ce moment la que mes parent parlaient couramment l’iranien et qu’il s’agissait la de la prochaine destination. Le lieu de ma prochaine vie. Curieuse, car à ce moment la je l’étais encore, je me renseignais sur ce pays et apprit rapidement qu’il était ciblé par des terroriste. Je ne comprenais pas tout mais du haut de mes quatorze ans je ne comprenais pas bien la situation. C’est donc détendus que je fis mes bagage. Tout n’était pas emporter, loin de la, nous ne prenions que le stricte nécessaire. L’avion fut le premier moyen de transport que mes parents choisirent, le plus rapide. Nous étions pauvre et pourtant, je compris à ce moment la que ce n’étais qu’une apparence. Une apparence choisit afin de pouvoir réaliser ce voyage. Un long voyage. A peine arrivée, nous étions déjà dans une voiture en direction d’un petit village perdues dans les montagnes. Il faisait chaud, habillé d’un simple tee-shirt et d’un short je transpirais à grosse goutte alors que le soleil atteignais son zénith. Soudains, la route explosa.


Je ne sus jamais ce qui c’était passer, enfin c’était plutôt simple a deviner. Nous étions attaqués. L’avant de la voiture fus complètement déchiqueté. Le toit arraché, je fus projeté en dehors du véhicule juste avant qu’il n’explose. Je roulais au sol accompagnais de la tête de ma mère et d’un bras appartenant a mon père. Tout était calciné, tout était massacré. Tout me paraissait irréaliste et je ne réagis même pas à la vue de cette horreur. Un ombre passa sur mon visage. Une main attrapa mon épaule et me souleva de force. Je me retrouvais nez à nez avec un homme possédant une magnifique barbe noir. Effrayer, je réagis avec l’expérience de toutes les leçons que l’on m’avait fournit. Sans doute ne pensait-il pas que je fournirais une résistance efficace mais, le tranchant de ma main qui frappa son tympan l’étourdit suffisament pour qu’il me lâche. Atterrissant au sol je lui fauchais les jambes avant de m’enfuir. Ce que je n’eus pas le temps de faire car à peine retourner, je me cognais a un homme portant un fusil d’assaut. Sans ménagement, il me frappa à la nuque et je sombrais dans l’inconscience la plus totale.

Je ne sais pas combien de temps je mis à reprendre connaissance. Ce que je sais c’est que désormais, je me trouvais dans une caverne. Une caverne fermée par une porte en métal. J’étais emprisonné, éclairé simplement grâce à une petite bougie qui ne tarderait pas à s’éteindre. Des larmes commencèrent à couler lorsque peut à peut la réalité me rattrapa. Je venais de perdre ce qui était pour moi, ma famille, et mon avenir était des plus incertains. J’étais assez grande pour comprendre que je n’allais pas faire de vieux os. Je restais un temps infini assis dans le noir. Alors que plus aucune larme ne parvenait à couler, sans aucun doute plusieurs heures plus tard, la porte s’ouvrit dans un grincement métallique à faire froid dans le dos. Prenant mon courage a deux mains, je me levais en regardant l’homme qui entrait dans la pièce. Celui-ci parla d’une voix rauque dans ma langue.

-Soit tu nous rejoins et tu vie en servant notre cause. Soit tu meurs de mauvaise façon, et tu serviras notre cause aussi. Tu choisis quoi ? Vivre ou mourir ?


Je le regardais en me demandant de ce qu’il parlait, je ne savais rien de leur cause, rien de ce qui ce passais dans ce pays et pourtant, je me retrouvais embarquer dans un merdier pas possible. Ma réponse ne se fit pas vraiment attendre. Je ne tenais absolument pas à mourir et quelque soit leur cause, j’étais sur de pouvoir finir d’y trouver mon compte.

-Vivre.

L’homme hocha la tête avec un sourire satisfait et me fis signe de le suivre. Tout aller commençait. Les galeries étaient nombreuses et c’est limite si je devais courir pour pouvoir le suivre. Une quarantaine d’autre homme nous rejoignirent au furent et à mesure, presque tous accompagner d’un enfant, souvent plus âgée que moi. Aussi, j’étais la seule européenne du groupe. Tous étaient effrayés, en dehors des plus vieux qui gardaient un visage confiant comme si il savait pourquoi ils étaient là. Contrairement à moi. Enfin j’aperçus la lumière du jour. Enfin, j’allais être libre. Ou pas. Deux camion nous attendaient et nous fument obligé de monter dedans. La porte se referma, les gardes était avec nous, une simple lampe nous éclairais. J’avais peur. Et le trajet était interminable. Un enfant demanda ou l’on allait, seul le silence lui répondit. La chaleur devenait insoutenable, pourtant, personne ne bronchait. Cela devait être parfaitement normal de telle température ici mais, comparer à Paris, s’en était insupportable. Enfin le véhicule s’arrêta, la porte s’ouvrit et on nous obligea à sortir. C’était presque le soir et le paysage était magnifique. Derrière nous, un large mur de pierre presque parfaitement camoufler mais infranchissable à pied. Devant nous, un canyon immense s’étendant à perte de vue. Les falaises aussi raides que le mur n’offrait que peux de prise. Il aurait fallut un talent formidable en escalade ainsi qu’un matériel de pointe. Loin de la portée de l’un d’entre nous. Un homme s’avança et répéta en plusieurs langues afin que tout le monde comprenne.


-Voici votre terrain d’entraînement de survie. Vous aller être lâché dans la nature pendant deux semaines. De temps en temps, un peu d’eau et de nourriture sera déposer à certain endroit, à vous de les trouver, à vous de survivre. Tous les coups sont permis. Dans deux semaines, rendez-vous ici. Pour ceux ou celle qui seront encore en vie. On va vous garder à l’œil, inutile d’essayer de vous enfuir vous serez immédiatement exécuter. Il y a un camion de fourniture, arme, nourriture, boisson, matériel de survie. Prenais ce que vous voulez.

Il se détourna et les côté du camion se rabaissèrent. Une quantité formidable de nourriture, vêtement et autre chose se déversèrent sur le sol. Les fruits furent immédiatement détruits par les autres objets, du moins pour la plupart. De toute façon il ne serait sans doute plus très bon. Les règles étaient claires, il fallait survivre. Par tous les moyens. Certain commençais déjà a ce battre pour la possession de tel ou tel objet et, regardant autours de moi, je remarquais que les soldats souriaient. Personnellement, j’attendais patiemment. Peu à peu, ce qui participait à l’épreuve se dispersèrent charger d’équipement. Tous partaient dans le canyon afin de trouver un abri. Lorsqu’il ne restât plus que deux personnes, je m’approchais à mon tour. Mon premier geste fut de manger les fruits que je trouvais. En même temps que je mâchais, je saisis un sac à dos et y fourré des provisions ainsi que de l’eau. La pile avait considérablement diminué, pourtant, je trouvais encore ce qu’il me fallait. Un briquet trouva sa place dans ma poche et une casquette noire trouva la sienne sur ma tête. Oui, on m’avait toujours conseillé de protéger ma tête du soleil, désormais, c’était chose faite. Un sabre de petite taille attira mon attention et il se retrouva attacher à la ceinture de mon short-jeans bleu. C’était parfait, ainsi, je pourrais me défendre. Les regards haineux que l’on m’avait jetée ne m’avais pas échappé. Encore une fois, j’étais différente et on ne m’acceptait pas. Un pistolet charger rejoignit l’arme blanche. J’en avais vue partir avec des fusils d’assaut, l’un d’entre eux portait même un fusil sniper. Il serait bon que je puisse me défendre aussi à distance, même si je ne savais absolument pas me servir de ce genre d’arme. Enfin, je me décidais à partir.


Je garde que de vague souvenir éprouvant de la suite, on dit que l’on devient fou lorsque l’on est trop exposé à certaine chose et c’est ce qui m’arriva. Je suis quelqu’un de folle pour la plupart des gens tout simplement parce que j’ai apprit à survivre dans n’importe qu’elle circonstance et par n’importe qu’elle moyen. Je trouvais facilement un abri pour la nuit, au bord de la falaise, dans une petite cavité. Une cavité dans laquelle je passais les deux jours suivant. Deux jours pendant lesquels je consommais mes quelques provisions. Largement insuffisante pour tenir le délai impartit. De loin, j’avais vue le camion repartir ne laissant rien derrière lui, je ne pouvais plus compter sur cette aide. N’ayant plus rien à manger ni à boire, je me passais de nourriture le troisième jour. A ce moment la, je ne connaissais pas encore le système de rationnement, mangeant lorsque j’avais faim. Une erreur de plus. Le quatrième jour, en fin de journée, affamé et assoiffé, je sortis de ma cachette comme une âme en peine. Déjà j’avais oublié la mort de mes parents tout ce qui comptais, c’était le présent. Titubant, ayant mal dormis ces dernier jours, je me dirigeais vers le centre du canyon qui se révélait être une véritable fournaise. Je n’étais pas le seul apparemment car j’eus tôt fait de rencontrer quelqu’un. Qui m’attaqua immédiatement. Il était comme un chasseur cherchant sa proie et maintenant il en avait trouvait une. Lui aussi était armée d’une armes blanche préférant de loin cela a une armes à feu. Sans doute trouvait-il plaisant de sentir la chair céder sous sa lame. Mais je n’eus aucun mal à le contrer. Bien qua fatigué, cela faisait un moment que j’étudiais cet art et je n’étais plus une débutante. Sans réfléchir aux conséquences, je contre attaquer.

Le fracas de nos armes retentit dans le lieu qui nous servait à tous d’arène, une arène naturel, magnifique et mortel. Je le fis reculer de quelques pas, feintais sur le côté et lui transperçais la gorge. C’est lorsque je vis le sang couler que je réaliser que je ne tenais pas une armes en bois mais un véritable sabre parfaitement équilibrer. Le tout c’était finis en cinq passe. Il est dit qu’un cerveau humain ne peut pas prévoir plus de sept mouvement d’affiler, qu’un combat ne dure jamais plus longtemps. Pour le moment, la théorie de mes enseignants se confirmait. Aveuglé par la faim et la soif, je ne faisais plus attention à ce qui pouvait servir d’humanité. Non, celle-ci avait désormais disparus de mon esprit. Tout ce que je voulais, c’était manger. Lui aussi portait un sac mais une fouille minutieuse m’informa qu’il n’y avait aucune trace de nourriture. Pourtant, cela sentait la viande. J’avais faim, si faim. Je me tournais vers le cadavre réalisant que c’était lui qui sentaient aussi bon. Je ne résistais pas. Un coup de sabre l’éventra faisant gicler le sang et je plongeais mes mains dans le corps. J’en sortais les entrailles et, sans hésiter, mordis dedans. Ce n’était pas spécialement bon mais je n’avais pas le choix, il fallait que je mange. Cela dura un long moment avant que je ne sois rassasié. C’était gluant, difficile à avaler pourtant, peu à peu je m’y habituais. Lorsque je fus rassasié, je saisis toute les bouteilles que j’avais à disposition, les miennes ainsi que celle de mon adversaire. Il n’en avait qu’une. Pas étonnant que je l’avais battus si facilement, il devait être presque mort de soif lorsque l’on c’était rencontrer. Plongeant les bouteilles dans le cadavre, je les remplis de sang. Oui, ce breuvage n’était pas de l’eau, mais cela suffirait, du moins provisoirement. Lentement, un sourire satisfait aux lèvres je m’éloignais. Je me sentais bien. Je venais de tuer et mon corps frissonnait encore de cette sensation. Ce n’était pas un frisson d’horreur, loin de là. Il s’agissait la d’un frisson de plaisir. Je me rendis compte à ce moment la que j’avais toujours aimé me battre et que je n’attendais qu’une chose, tuer. L’être humain n’est qu’un animal. Un animal bien particulier qui prend plaisir à la souffrance de ces semblables.

Les deux semaines filèrent à une vitesse hallucinante. J’étais une chasseuse, chaque jours, je m’arrangeais pour trouver une victime de plus, afin de me nourrir mais aussi pour rassasier ma soif de sang et de mort. Je perdais toute humanité, tout était normal, je me sentais bien. Je reçus quelques blessures mais étant bien nourris, je parvenais à faire face à toute sorte d’adversaire. Les prenant par surprise, je passais derrière eux, une pierre de vingt kilos sur la tête ne fais jamais du bien. Et plusieurs d’entre eux en firent l’expérience. Cela ne tuais pas forcément, et les cries des survivants emplissaient tout le canyon. Je savourais cela et lorsqu’il fallut retournais au camion, mon esprit tout entier devînt noir de déception. Dans ce lieu, je me sentais chez moi. Un chez moi un peu particulier.




DERRIÈRE L'ÉCRAN

NOM DU PERSO
[x] VOTRE PSEUDO : Ancia, Zian, comme vous voulez.

[x] QUEL ÂGE AVEZ-VOUS ? 18 ans

[x] COMMENT TROUVEZ VOUS LE FORUM ? Sympa sinon je serais pas la

[x] COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? Recherche de partenaire en partenaire.

[x] SELON VOUS, UNE AMÉLIORATION DOIT-ELLE ÊTRE APPORTÉE ? SI OUI, LAQUELLE ? La tout de suite je vois pas ‘_’.

[x] ET CE RÈGLEMENT, L'AVEZ-VOUS LU ? [Validé by Zash]




Dernière édition par Elena Altor le Dim 22 Avr - 20:10, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Elena Altor [en cours] Elena Altor [en cours] Icon_minitimeDim 1 Avr - 21:39

Bienvenue à toi sur les terres d'Otherside.

Au moindre problème, le chat (:3 miaou donc moi) accepte de t'aider. u.u je te fais une imeeeense faveur. Enfin bref =D bon courage pour la fiche.
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MessageSujet: Re: Elena Altor [en cours] Elena Altor [en cours] Icon_minitimeMer 4 Avr - 20:24

courage Elena ;D
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MessageSujet: Re: Elena Altor [en cours] Elena Altor [en cours] Icon_minitimeJeu 12 Avr - 12:59

Je m'excuse pour le retard que prend ma présentation, j'ai quelque problème personnelle irl, je la fini des que je peux.

Encore désolé
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MessageSujet: Re: Elena Altor [en cours] Elena Altor [en cours] Icon_minitimeJeu 12 Avr - 15:57

Pas de soucis, du moment qu'on est au courant c'est bon
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MessageSujet: Re: Elena Altor [en cours] Elena Altor [en cours] Icon_minitime

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