suite d'un rp qui a étrangement disparu du forum..

Orube ressentait de drôle chose, tout autour d'elle, mais surtout tout en elle. Elle se sentait timide et provocatrice en même temps, désireuse et peureuse. C'était un flux de sentiment bien étrange qu'elle avait grand mal à contenir en elle. Du coup, allongée sur sol entre les feuilles mortes et les branches casés, elle remuait doucement, essayant par tous les moyens de rester maîtresse de son corps. Mais était ce encore possible pour elle ? Elle en doutait de plus en plus le temps passant. Doucement, Teck descendit ses lèvres le long de son corps et, terminant de la mettre à nue, décida d'achever la découverte de son corps par ses baisés tendre. Il déboutonna la jupe, la laissa choir sur le sol et embrassa son intimité la plus secret. Sur l'instant, elle sursauta faiblement, d'une rougeur qu'on ne pouvait pas décrire. Est ce que quelqu'un l'avait déjà fait rougir à ce point ? Rien n'était moins sur même pour elle même, et si elle avait eu quelque chose à répondre.. sûrement serait elle restée muette. Elle avait déjà tout imaginée avec un homme, mais ce passage hypothétique l'avait toujours dérangée. Et voilà qu'il allait.. il l'embrassa à nouveau avant de, la tenant par les cuisses, commencer une sorte de repas de son être. Il la mordillait, l'embrassait, la léchait, la mordait parfois avec plus de présence, l'excitant volontairement de manière sauvage. Elle trembla faiblement, le plaisir venant par soubresaut. Elle n'avait jamais ressentie tout sa ! Une main se refermant sur le sol, l'autre alla se loger parmi ses cheveux.

La louve se mordit la lèvre et finit par lâcher un gémissement de plaisir non retenu. Est ce que quelqu'un pouvait les surprendre ou même les voir ? Certainement, et certainement aussi que ce monsieur ou cette madame profiterait d'un beau spectacle alors, mais cela reste une activité intime entre deux personnes ce découvrant, laissez donc vos passions pour le voyeurisme. Elle se redressa avec peine, rouge de honte et de plaisir à présent et, assise, l'attira à elle pour l'embrasser, trahissant son excitation et son envie. De ses mains aguicheuses, sans arrêter de l'embrasser, elle commença à le caresser à travers le tissu et lui retira enfin son dernier habit. Son membre dur et déjà droit, glissa dans sa main dans d'agréables mouvements. Puis elle l'enlaça de ses deux mains, le regardant avec des yeux fiévreux.

- Je t'aime .. fait de mon âme ce que tu voudras..

Elle l'embrassa à nouveau, lui laissant libre d'accepter ses mots et de continuer, ou de continuer pour la jeter après.. ou encore de la jeter dès à présent